LA RELATION AMOUREUSE DE TROP

Ecrit par Lémuel ADONIS

Il y a des choses, les filles, qui ne devraient jamais vous arriver.


Mais ces mêmes choses ont 95% de chances de vous arriver lorsque vous ne respectez pas la règle numéro un du bien-être. On va en parler dans cet article.

Aujourd'hui, je suis parti avec ma meilleure amie faire une échographie, pas pour moi, pour elle.


C'était une belle journée et ça reste au demeurant une très belle journée.

On est entrés dans la salle d'attente, il y avait plein de femmes avec leurs gros bidons.

C'était magnifique, c’était beau.

Le tour de ma meilleure amie est arrivé, elle y est allée.

Et donc moi, je suis resté dans le couloir.


J’étais assis à côté d'une femme qui, elle aussi, avait un gros ventre.


Quand je dis « gros ventre », elle n'était pas en fin de grossesse, mais elle devait au moins être à six mois, donc on voyait quand même la petite bosse. Je voyais malgré le masque, le regard de toutes les femmes. Toutes étaient un peu perdues dans leurs pensées, dans leurs rêveries, ou alors sur leur téléphone, ou en train de discuter avec leur compagnon…


Il y avait une sorte d’harmonie globalement positive dans la salle.


C’est quand même cool, on parle de naissance, de grossesse, c’est beau.

Sauf pour la femme juste à côté de moi… Quand je suis arrivée, elle était déjà assise. Moi qui suis d’un naturel observateur, je suis entré dans la salle et je l’ai tout de suite vue.


Il y avait deux places libres, je suis allé m’asseoir avec ma meilleure amie et je me suis mis à côté de la femme qui, je l’ai vu dans ses yeux, avait un regard qui n’était pas du tout comme celui d’une femme heureuse d’être enceinte.


Bon, on peut ne pas être heureuse d’être enceinte, ce n’est pas une erreur ou une faute en soi. Sauf que lorsque ma meilleure amie est partie faire son petit lavage de bidon, le téléphone de la fille à côté de moi a vibré et elle a décroché.


Et j’entends tout.


Elle a parlé à travers son masque, doucement même s'il n'y avait pas un silence de mort dans la salle, donc elle pouvait parler sans déranger.


Mais elle parlait doucement. Moi, j’étais à côté, à 60 cm de sa bouche, donc j’entendais ce qu’elle disait. Et au moment où le téléphone a sonné, où elle a décroché, là, j’ai entendu le son de sa respiration qui n’était plus le même.

Pourquoi ? Parce qu’en fait elle était en train de pleurer.


Au moment où le téléphone a sonné, il y a eu un élan d’émotions et elle s’est mise à pleurer. Seulement, je ne comprenais pas pourquoi elle pleurait, je ne savais pas pourquoi. Mais j’allais très rapidement le comprendre.


Cette femme au téléphone, en train de pleurer, avec certainement un ami ou un membre de sa famille, je ne sais pas, je l’ai entendue dire : « Il ne sait toujours pas pour le bébé, mais de toute manière, dès qu’il a su que potentiellement j’étais enceinte, il m’a larguée et je n’ai plus de nouvelles de lui. »

Bordel de merde !


Pourquoi « bordel de merde », les filles ?


Vous n’avez pas le droit de vous laisse glisser dans ce type de situation de merde. Cette femme de moins de 30 ans, une vingtaine d’années, était en train de dire clairement, en gros : « Je suis enceinte, lui ne le sait pas. » Donc elle parlait du papa, certainement.


« Mais de toute manière, dès qu’il a su que potentiellement j’allais faire le test, que potentiellement j’allais être enceinte, que j’avais un retard de règles, depuis ce jour-là, je n’ai plus de nouvelles de lui. »


Du coup, elle est toute seule, dans une salle entourée de plein d’autres femmes. Elle est là, abandonnée, découragée, triste, malheureuse, parce qu’elle est enceinte. Elle se dit : « Qu’est-ce que je vais faire ? »


Et donc, j’ai entendu la suite de la conversation avec son proche au téléphone. Je te fais le résumé de cette conversation qui a duré peut-être trois minutes, très, très courte, mais tellement intense et triste.


Cette femme triste parce qu’elle va faire son échographie était stressée parce que le père n’était pas là. Elle était stressée parce que financièrement c’est également compliqué pour elle. Elle était stressée parce qu’elle est très attachée au papa du bébé. Mais apparemment, ce n’est clairement pas réciproque, il n’en a rien à foutre. Elle a son bébé dans le ventre et à vue d’œil, elle en est à peu près à six mois.


Bordel de merde !


Les filles, on vit dans un monde de fils de [bip] !

Et ça, en fait, si tu ne l’intègres pas, tu vas souffrir plus que nécessaire.


Tellement.


Ce qui m’a frappé dans cette discussion avec son proche, c’est le moment précis où elle a dit :

« De toutes les manières, je savais déjà que si ça arrivait, c’est ce qu’il ferait. »

Si tu savais déjà qu’en tombant enceinte, il se barrerait, ce type, qu’est-ce qu’il faisait encore dans ta putain de vie ? Qu’est-ce qu’il foutait là, le mec ? Ce n’est pas comme si tu étais surprise ! Ce n’est pas comme si tu tombais du vingtième étage.


Tu le dis toi-même :

« Je savais de toute manière que si je tombais enceinte, il me quitterait, il couperait les ponts. »


Si tu savais à quel type d’homme tu avais affaire, pourquoi était-il encore là ?

Les filles, certaines femmes vont comme ça enchaîner des douleurs, des déceptions, de la tristesse, du chagrin… inutiles.


La vie est déjà suffisamment difficile, suffisamment pénible, pour que vous n’ayez pas à en rajouter une couche.


C'est important de prendre du recul sur ce que dit cette femme et qui est douloureux, bordel.


Une grossesse, c'est censé être un moment de bonheur, surtout quand on passe la barre des six mois, où on sait à quel point c'est de plus en plus compliqué d'avoir un bébé.


Quand tu as passé la barre des six mois, tu te permets de dire merci au Ciel, parce que c'est chouette, c'est beau. Ce n'est pas censé être un moment douloureux.



Quand on fait un pas en arrière et qu'on en sait un peu plus sur ce que traverse cette femme actuellement, on se rend compte que ce n'est pas la seule femme au monde à souffrir inutilement.


C’est une souffrance qu’elle aurait pu éviter.

Et toutes les femmes qui souffrent inutilement – parce qu'il y a des souffrances utiles et des souffrances de merde, inutiles – ont toutes un point commun : elles ont toutes une facilité déconcertante à aimer l'autre plus qu'elles-mêmes.

À aimer les autres plus qu'elles-mêmes.


Si je te fais un raccourci, ce sont des femmes qui ne s'aiment pas suffisamment, même parfois, qui ne s'aiment pas tout court.

Qui ne s'aiment pas tout court, bordel !


L'amour de soi, les filles, c'est la base de tout. Avant de chercher à construire quoi que ce soit, avant de chercher à aimer qui que ce soit, l’amour de soir, c’est la base.

Et si dans vote vie, il n'y a pas d'amour, vous êtes dans une putain de merde. À un moment donné, votre vie va vous le rappeler.


Pourquoi ? Parce que quand on ne s'aime pas, on ne prend que des décisions qui vont refléter ce manque d’amour de soi.


Les filles, lorsque vous ne vous aimez pas, vous allez prendre des décisions, faire des choix qui reflètent ce manque d’amour que vous avez pour vous-mêmes.

Tu comprends ?


Et lorsque vous prenez, dans une vie, majoritairement des décisions qui reflètent ce manque d'amour que vous avez pour vous-mêmes, ça va être à 95 % du temps des décisions et des choix de merde. Des choix qui vont vous faire de la peine, vous faire souffrir, vous déchirer le cœur. Vous n’avez pas le temps pour ces conneries, les filles.


J'en parle dans cet article intitulé: "Mon ex regrette ce qu'il m'a fait"

>>Clique ici pour le lire<<


Cette femme, quand je l’entends parler au téléphone et qu’elle sort comme ça, en direct « De toute manière, je savais qu’il allait partir. », dans ma tête je me dis : « Putain, tu as 21 -22 ans, tu es toute jeunette, toute mignonne, toute belle, qu’est-ce que tu fous dans ce contexte de merde ? ».


Tu n'as pas le temps pour ces conneries de merde. Tu n'as pas le temps de te retrouver dans un hôpital en train de chialer parce que tu es enceinte de 6 mois d'un mec qui s'en carre le fion de ta présence. Tu n'as pas le temps pour ça, bordel !

Tu es une putain de femme 5 étoiles.


Tu n'as pas le temps de faire de la merde. Tu n'as pas le temps de te gâcher la vie. Tu n'as pas le temps de faire des choix qui vont te faire souffrir inutilement. On n’a pas le temps.


On n'a pas le temps. On ne vient pas sur Terre pour faire de la merde et enchaîner merde sur merde.


Sauf que lorsqu'on ne s'aime pas, on est forcé d'enchaîner merde sur merde. Et le plus triste, c’est quand à cause de ce manque d’amour de soi on fait juste une seule putain d’erreur, qui nous coûte notre putain de vie.


Dans le cas de cette femme, ce n'est pas le cas. Si elle garde le bébé, au bout de six mois– j'espère qu'elle va le garder, je pense –, ce n'est pas la fin du monde. C'est un bébé et elle va l’aimer, ce bébé. Il n’y aura pas de papa, mais elle va l'aimer. Donc ce n'est pas la fin du monde, c’est cool quand même.


Mais ça m’a déchiré le cœur de voir cette femme à côté de moi, d’une vingtaine d’années, en train de chialer dans une salle où la plupart des futures mamans sont contentes d'être enceintes.


Forcément, quand elle s’est mise à pleurer derrière son masque, les autres mamans qui l’ont regardée étaient un peu mal à l’aise. Tout le monde était un peu gêné, tu vois ? Sauf que les autres femmes n’entendaient pas ce qu’elle racontait. Moi, j’étais gêné, mais en plus, j'entendais son histoire, alors j’étais plus énervé que gêné.


Les filles, apprenez à vous aimer.


Avant de chercher à faire quoi que ce soit dans ta fucking vie, ma chère femme 5 étoiles, apprends à t'aimer. Avant de chercher à créer une vie de couple, apprends à t'aimer. Avant de chercher à aimer l'homme qu'il te faut, apprends à t'aimer.


Avant de

vouloir créer une famille – c'est magnifique, c'est beau, c'est super –, apprends à t'aimer.

Apprends à t'aimer.


Avant de chercher à être respectée par les autres, apprends à t'aimer. Pour pouvoir vivre en étant heureuse et puissante, tu dois t'aimer. Si tu ne t'aimes pas, tu vas prendre des décisions qui vont refléter ce manque d'amour que tu as pour toi, tu comprends ?


« Amour de soi », c'est un programme que j'aime beaucoup.

Tu peux le découvrir en >>cliquant ici<<


Un programme que j'ai créé il y a maintenant 2 ans, je crois, peut-être 3 ans. C'est un double programme qui va t’apprendre à t’aimer, enfin.


Premièrement, à comprendre pourquoi tu ne t'aimes pas suffisamment aujourd’hui. Et deuxièmement, à guérir les blessures qui doivent être guéries pour réapprendre à t’approprier ton amour-propre et à enfin être une femme qui s’aime pleinement. Je ne le répéterai jamais suffisamment, les filles : n'espérez pas être heureuses, comblées, puissantes, si vous ne vous aimez pas suffisamment. C'est voué à l'échec.


Quelqu'un qui te dit que c'est possible est un menteur.

Quelqu'un qui te dit que tu peux être heureuse, comblée, kiffer ta vie, avoir des projets... bref, construire des belles choses sans que tu t'aimes, c'est quelqu'un qui te ment. Parce que ce n'est pas possible.


C'est impossible.


Je répète pourquoi : parce qu'une femme qui ne s'aime pas, va constamment prendre des décisions qui vont en ce sens, des décisions nocives, toxiques, tristes, rabaissantes, humiliantes… bref. C’est ce qu’on voit tous les jours.


Je vous coache, les filles, depuis 2015, et je vous le dis : la plupart des femmes qui prennent des décisions de merde en amour, elles ne s’aiment pas.


Je ne parle pas d'une erreur de tomber sur un connard. Non, c'est quand c'est à répétition, encore et encore.

Quand vous savez que vous allez faire un truc de merde, mais vous le faites quand même ; vous savez que c’est un connard, mais vous vous mettez quand même avec lui en couple ; vous savez que c’est un connard, mais vous restez quand même avec lui. Toutes ces décisions dont vous savez au fond de vous que c'est de la merde, mais que vous prenez quand même.

Lorsqu'on s'aime, on ne fait plus ça. Lorsqu'on s'aime, on ne se trompe plus. Lorsqu'on s'aime, on ne fait plus ce genre d’erreur.


Lorsqu'on s'aime, on prend enfin des décisions qui brillent.


Et toi aujourd'hui qui me lis encore, si tu te reconnais dans ce que je suis en train de définir, cette femme qui ne s’aime pas, il est temps que tu apprennes à t’aimer.

Je vais t’apprendre à le faire.


Bouge-toi.


Si tu ne sais pas le faire toute seule, alors on va bouger ensemble.

Et je vais t’apprendre à le faire avec mon programme. >>Clique-ici<<


Go !

Lémuel Adonis

Lémuel coache les femmes 5 étoiles depuis 2015.

lemueladonis.com